Cette adoration des mages est encore dans le même esprit, bien que scène diurne, dans un paysage remarqueblemnt unifié par la lumière et les dégradés atmosphériques. le nouveau-né est minuscule, fragile, décentré. Autour de lui, les mages certes, mais encore des figures menaçantes et ironiques. Ainsi ce sauveur n’est pas tout puissant, au contraire ; il n’est même visible que pour ceux qui savent voir.