Edgar DEGAS , danses

a k le salut

Ici encore un projet similaire avec la bascule du corps, qui entraine comme une bascule du sol. C’est ici l’occasion d’aborder un autre des fondements de l’art de Degas, à savoir celui de la lumière. En effet, les feux de la rampe, à l’Opéra, éclairent les corps des danseuses, par en dessous, afin de ne pas imposer une ombre au sol. Ainsi les figures semblent portées littéralement par la lumière, le sol perdant toute présence triviale, elles semblent voler dasn des espaces confus, flous et vaporeux, comme leurs tutus. Nous remarquons, encore une structure en triangle ( Y ou V ou Z) qui peut être assimilée aussi à un envol accompagnant celui des danseuses saluant.

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