Comme une urgence, Toulouse-Lautrec achève des croquis-peints, qui sont des démonstrations éclatantes de virtuosité, tant des traits que des harmonies colorées. On voit aussi 2 visions de la Goulue, qui passe de la scène à la rue, mais chaque fois dans l’indifférence.Il semble évident, que Toulouse Lautrec témoigne dans ces portraits d’une profonde empathie pour ces femmes et il n’établit pas de distance. La finesse des portraits en est le signe fort et délicat.