Ces vues semblent décalées, décentrées, se focalisant comme au hasard sur certains points fixes et détails, dans des lumières crues et couleurs saturées. Onne eut s’empêcher de voir ces scènes comme vues par un esprit embrumé et rendu hypersensible, tel que l’alcool pouvait troubler celui de Lautrec, mort à37 ans de délirium tremens. Il subsiste des fulgurances colorées, des visions virtuoses sombrant dans la confusion et le relâchement, l’épuisement.