plan et notes pour un cours.
La méthode est encore le repérage des Percepts, Concepts, Affects et Références
1919
notions à repérer
Trace-Geste
La première question qui semble posée est celle du PARCOURS,
Exploration du format . Le choix d’une brosse large, permets de produire un trait qui soit aussi surface ; ainsi l’exploration de la surface de la toile est possible dans une unité de temps restreinte.
On s’approche de la calligraphie, la belle écriture ( au sens littéral) ; geste continu.
L’outil porte une quantité donnée de matière, qui se perd
Notion d’épuisement évidente ;
Aller au bout du geste et aller au bout de la « réserve »
Il y a dans cette gestuelle lente mais délimitée à priori, une posture du corps ; Taï Chi.
Règles établies a priori : dimension de la toile, largeur de l’outil, quantité de peinture.
.calligraphie, Still, Motherwell, Hartung, Asie. Taï Chi. Expressionisme abstrait
Monochromes
Surface, pools, bain. Principe du Templum nouveau la lenteur ; dà savoir : qu’est ce qui apparaît dans ce cadre et surtout dans ce noir ?
Comme la nécessaire adaptation de l’œil, de la pupille qui doit laisser les subtilités advenir
Malevitch-Klein ( mystiques) Rothko, Opalka, Manzoni, Georges Rousse
Le Noir
Support, Dimension, peinture-mur, résolution du paradoxe ( voir Matisse) fenêtre/mur. Présence, valeur de réalité contre la représentation. Phénomènologie.
Pose : lenteur- rapporter à Miro et sa ligne de plusieurs semaines.Poïétique
Épaisseur,
Connotations primaires et régressives. Satisfaction et jubilation.
Epaisseur, couche, graisse, sensualité. Crème, accueil, disponibilité, érotisme de la surface. Lucio Fontana.
matière première, pétrole, terre, boue, pâte. Recouvrement. Matière objet/présence. Valeur de réalité non mise en scène. Peinture directe ( Pollock)
Rapport à Van Gogh, Rembrandt. Chillida
Outils, largeur : on s’approche du rateau japonais, du peigne et du balais.
Les dents de la faneuse, orde des parallèles ; structure anticipée. Outil pour affronter le néant de la matière-surface. Jardin japonais, chevelure, labours.Pneus
Paradoxe du balai/pinceau, qui nettoie et salit ( Jasper Johns)
.
Stries, rapprocher de Gnoli, Soto ; idée de sillons, de cheveux, de largeur, de pluie, d’herbes.( Gnoli-Soto)
Notion cardinale ; Trace première sur une surface : sable, purée, goudron : acte primitif.
La strie résoud le paradoxe de la ligne et de la surface : desgnare/celare- Dessin/couleur- Montrer/cacher.
(rapprocher encore de Pollock-Stella)
Aspect, , cire, encaustique, au couteau. Générosité, roboratif, chaud.
Transparence, noir/ocre du bitume, de la trace, couleur café. Sous terraine. On la retrouve dans les vitraux. Lumière un peu sale. VanGogh : matière portant la lumière et Matériologie de la lumière.
La pause, le repos de la surface non striée. Silence, respiration. Peau.
Lumière, clair-obscur Caravagesque ( opposé à delatoiur-Rembrandt) la lumière surgit d’un ailleurs, pas d’une torche, ni de l’intérieur. Extraction du néant par la révélation. Qqchose à voir avec les bas reliefs des tombes egyptiennes et la lumière rasante. Avec van Gogh encore . La matière devient lumière
Camera-Obscura
Inverse de l’espace profond et mesurable, espace perspectif et blanc. Rétine-Macula-tache-MaculaMélano. Lumière intérieure : Rothko-Reinhardt-
Opposer aux vitraux/fenêtre/cornée/ négatif. Mystique des absolus et infinis ; NoirBlanc
Repentirs, question des retours, des surfaces, des couches. Hasard et souvenirs.
Repentir est effacement.
Idée du temps, de la durée. On retrouve la question de la lenteur.
Paradoxe de la lenteur qui évoque la décision anticipée et mûrie et le repentir.
Le repentir est d’autant plus puissant qu’il concernele recouvrement de réalités établies et assises.
Inconnu des dessous. Chose cachée ( Duchamp : « à bruit secret »)Palimpseste. Stael, De Kooning.
Action painting.