Ci dessous, la galerie correspondant à une conférence faite dans le cadre de l’ UTL des Ulis, à Gometz le Châtel, janvier 2020.
cet article fait écho à d’autres articlesAlexandra Exter, futurisme et constructivisme russe et encore Hannah Hoch, dadaïste mais aussi Elsa Von Freytag Loringhoven.
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Ces 2 logos successifs du Bauhaus, expriment bien les finalités audacieuses des équipes du Bauhaus ; une dimension totalisante, empruntant à l’élan des cathédrales gothiques, la rencontre de toutes les pratiques artistiques et artisanales, dans un élan populaire et dont la structure est lisible d’une part, et la volonté d’intégrer la modernitéindustrielle, autour d’une figure idéalisée de la figure humaine.
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Le b^timent du Bauhaus de Dessau ( après le déménagement de Weimar), conçu par W. Gropius est un manifeste de la transparence, de la fonctionalité et d’une esthétique rationelle. Tous les éléments utiles et fonctionnels, sont lisibles, visibles et intégrés dans l’harmonie générale ( y compris les lumières électriques et leur alimentation). Pour exemple, le Centre Pomidou se situe dans la droite ligne de ce principe.
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Expérimentée dans des bâtiments périphériques de l’industrie etasociée à l’ingénierie moderne, les premières expériences de Gropius, sont aussi contraintes par le programme fonctionnel des usines, et des nouvelles contraintes. La périphérie de ces bâtiments rend tolérables les audaces formelles.
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Mies Van der Rohe te Lily Reich, démontrent cependant, que l’épure et la lisibilité des structures ; comme l’usage exclusif de panneaux rectangulaires, permet aussi la mise en scène dépouillée de matériaux sensibles et variés. Dépouillement et révélation des surfaces ; influence japonaise assumée. Ce sont eux qui représentent l’ Allemagne à l’expo Universelle de Barcelone.
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Bien que beaucoup d’artistes soient souvent inspirés de théories lyriques, voire mystiques, certains, comme Kandinsky, Klee, Albers, modélisent les constituants picturaux et matériologiques, constituant ainsi une sorte de grammaire formelle, reposant sur des formes et couleurs premières.
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Cercle , triangles et carrés se combinent avec bleu, jaune et rouge afin de se combiner en objets fonctionnels, rationnels et ludiques comme ce berceau.
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Cette rigueur minimaliste est expérimentée dans tous les domaines, comme la typographie et l’illustration.
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Certaines expériences intègrent aussi ces couleurs ; comme des folies architecturales, expérimentées pour des kiosques ou commerces nouveaux.
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Inventant déjà, les « flyers » et le contact direct au public, l’expo de 1924 est aussi l’occasion d’une sorte d’émulation graphique, qui déploie bien la cohérence plastique du projet.
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Dans cet après huerre, de très nombreuses femmes, s’engouffrent dans la possibilité de suivre des cours et des ateliers artistiques, comme à cette même époque dans la Russie révolutionnaire. Marianne Brandt est l’une des plus créative.
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Elle réussit à appliquer rigoureusement les formes premières et à les combiner de façon fonctionnelle à divers ustensiles. Inventant une esthétique épurée, équilibrée et compatible avec une indistrie de masse, du fait de la retionalisation des découpes. L’électricité, modernité emblématique, peut aussi, grâce aux lampes de chevet, pénétrer chaque foyer.
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Nouvelles formes, mais aussi nouveaux matériaux aux qualités spécifiques, qu’il s’agit de révéler, comme l’éalasticité et la résistance de l’acier .
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Si Marianne Brandt est une pionnière dans le domaine du design d’objets, elle est aussi à l’avant-garde artistique, proche des collages dadïstes et féministes de sa vcompatriote Hannah Höch. l’usage de photos imprimées dans les magasines est une nouveauté, ce genre d’image étant récent, et appliqué à tous les domaines, informations, publicités, loisirs…
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Adoptant le modernisme, marianne Brandt sait y voir aussi une sorte de caricature de la puissance et d’un certain virilisme.
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De nombreuses femmes investies dans ces études, sont également cantonnées aux architectures, d’intérieur, aux mobiliers annexes et aux jeux d’enfants. Ainsi, même au Bauhaus, règne une certaine hiérarchie des pratiques. Avec le recul du temps, on note avec évidence, la modernité incroyable des propositions de Alma Buscher.
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Ani et Joseph Albers, seront souvent en collaboration, y compris dans ces mobiliers, qui avec des matériaux classiques, expériment l’esthétique fonctionnelle..
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La grande expérience de Ani Albers, sera avant tout d’animer l’atelier textile, exclusivement féminin, car marqué par cette tradition millénaire et genrée. Tout ce qui relève de l’intérieur, de la maison, meubles, objets, tissus, vêtements, enfants, cuisines….relèverait de compétences féminines, mais les excluait du reste!!! L’essentiel des productions sont exécutées ur un métier Jacquard.
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Ani Albers ou plutôt Annelise Fleishmann, va rassembler autour d’elle, un grand nombre de jeunes artistes dans l’atelier de tissage. Elles y appliquent une recherche théorique cohérente avec l’esprit du Bauhaus, à savoir la lisibilité des constituants de l’oauvre. Ici, les trames du tissage, lanature des fils etle jeu sur l’orthogonalité.
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Tous ces travaux s’apparentent à une programmation , car les contraintes sont constantes, les matériaux aussi ( fils) et le croisement aussi. Restent à inventer des variations anticipées et/ou hasardeuses. Ces artistes composent des rythmes et des figures.On pourrait apparenter à lamusique sérielle contemporaine. De la tapisserie comme décore, elles font une expérience plastique .
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Chacune réussissant cependant à développer un style personnel, comme Guntha Stolzl qui introduit des obliques et des ruptures, suggérant des coutures, là où il y a tissage. Dans cet atelier s’inventent des pratiques, qui sont actuellement programmées sur ordinateurs. Gunta Stölzl, sera d’ailleurs la première femme ayant le titre de Master!!
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Gunta Stolzl est aussi experte dans ses esquisses préparatoires, comme les cartons, véritable oeuvres picturales. La subtilité des tons, rythmes et ruptures de ses tapisseries sonttrès proches des recherches contemporaines de Klee.
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Otti Berger, l’une des plus actives et inventives de l’atelier. Elle théorise ses recherches et construit des cours avec méthode.
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Elle sera déportée et assassinée à Auxchwitz..à des années lumières de la belle vie créative et joyeuse du Bauhaus.
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Otte Benita est chargée de concevoir la cuisine du pavillon témoin de l’exposition de Weimar de Georg Muche. Si la cuisine est considérée comme un local « féminin », c’est aussi certainement le lieu ou les contraintes de fonctionalité sont les plus strictes, et donc l’enjeu plus grand encore.
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On voit clairement qu’à la rigueur élégante et fonctionnelle de la cuisine intégrée, Benita Otte est totalement libre et expérimentale dans ses tapis et décors de chambres d’enfants. Là encore, un univers « réservé » aux femmes du Bauhaus, sans doute avec une certaine condescendance. cecin’empêche pas les recherches théoriques et la modélisation des expériences.
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Paul Klee fut un professeur inmportant du Bauhaus et ses recherches et créations artistiques sont voisines des créations de l’atelier textile. Comme il s’agit ici de « peinture », et donc du « grand art », ses propositions sont considérées et retenues avec plus de crédit que les recherches des ateliers textiles. Pourtant, la logique et l’esthétique des cadrillage est plus cohérente dans le travail de tissage.
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Il y a un grand nombre de femmes architectes qui ont réussi à s’imposer dans le domaine de l’architecture d’intérieur et du désign, notamment avec les concepts de cuisine intégrée. rationaliser l’usage et faciliter la vie quotidienne. Plus que tout autre pièce, la cuisine est l’outil le plus complexe à concevoir. Pourtant souvent délaissée par les arcgitectes masculins. C’est pourtant la que ce sont joués de grands principes modernes. Margarete Schütte en est un autre exemple, assez voisine des préoccupations du Bauhaus.
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Friedl Dicker, inventive et novatrice…chambres d’enfants, écoles maternelle ( Montessori- il y a tout de même un véritable enjeu de modernité sur tous les fronts). La pédagogie Montessori étant très compatible avec l’esprit d’expérimentation du Bauhaus et de ses proches.
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Friedl Dicker, innove aussi dans les dessins en perspective savante, de ses projets. Très lisibles et clairs, ils développent l’esthétique géométrique des angles droits.
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Friedl Dicker, avant d’âtre déportée et assassinée à Auschwitz, sera quelque temps animatrice d’un atelier de dessin pour enfants déportés. Elle conservera des milliers de dessins dans une valise. Témoignage de l’atrocité du nazisme.
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Lily Reich, longtemps réduite à l’état de « femme de » Mies Van Drr Rohe était en fait une collaboratrice totale de ses projets, et notamment du fameux pavillon allemand de Barcelone, véritable manifeste architectural du minimalisme sensuel du Bauhaus. En effet, la rigueur des formes est compensée par l’harmonie des rythmes et les qualités matérialogiques des paneaux, de bois, marbres, verre…Elle est aussi à l’origine de nombreux fauteuils.
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Ces fauteuils, sont conçus dans le même esprit de rationalité et de logique, découlant des spécificités des matériaux utilisés. Ces inventions étaient aussi destinées à des productions industrielles, reposant sur l’économie et la production standardisée.On voit aussi des recherches pertinentes sur un nouvel appareil : l’électrophone, le tourne-disque. Il s’agit bien d’entrer de plein-pied dans la modernité. populaire.
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De même qu’en architecture, le soin est apporté aux cuirs et tissus, comme à la forme logique des assises et piètements.
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Du plus petit détail jusqu’à l’urbanisme, les mêmes principes sont explorés selon un principe de continuité, comme avec les logements populaires , s’inscrivant dans une politique sociale de Weimar.
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Katt Both, une aitre femme sortie progressivement de l’oubli. Notons sur cette photo, la grande liberté assumée dans les postures et coiffures de ces jeunes créatrices, mais qui s’exprime avec une très grande rigueur et harmonie dans les meubles, très éloignés des surcharges et décorations dominates au 19e siècle.
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Dans le domaine de la photographie, longtemps elle aussi délaissée par les artistes masculins, de nombreuses jeunes femmes s’engouffrent, telle Lucia Moholy-Nagy, qui herche et trouve des angles de vue exprimant la modernité des bâtiments de la nouvelle école de Dessau.
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Comme l’atelier de tissage, il semble que les recherches photographiques aient été investies par de jeunes artistes, voyant dnas cette pratique un espace de liberté, délaissé par les « maîtres » . En effet, malgré sa modernité évidente, le Bauhaus reste une structure hiérarchique, inspirée du compagnonage, adns laquelle les maîtres, les éèves et les apprentis sont la norme ; la très grande majorité des « maitres » restant des hommes.
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Les recherches de E.T. Franke sont performantes, explorant avant tout les surfaces et textures, travaillant sur les lumières rasanres, capables de rendre la banalité remarquable. Révéler les propriétés des matériaux ; une problématique typique du Bauhaus.
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Gertrud Grunow, venant de la hrande tradition de la danse, inaugure des pas, attitudes et notations nouvelles, en s’appuyant sur le langage inaugural du Bauhaus, cercles, triangles et carrés et couleurs primaires.
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Autour d’ Oskar Schlemmer, c’est tout l’art du ballet qui est reconstruit sur des bases formelles plus que littéraires, tel le fameux Ballet Triadique construit entre autre sur le Cercle et sas variations.
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Au delà du jeu formel et théorique de développer un art total autour d’une forme donnée, il ya un enjeu de taille, qui est de modifier le rapport au corps, à leurs interactions, aux stéréotypes genrés? Source de libertés et de jeu., comme à l’opposé des règles tyranniques des ballets classiques.
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La notion de jeu, commune au dadaïsme est prise au sérieux, mais, comme dans le monde de l’enfance, est garantie d’une liberté possible dans un cadre de règles choisies. Il y a aussin dans les costumes du Ballet Triadique, un écho aux formes industrielles modernes.
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Il suffit de comparer des affiches contemporaines, des Nazis et du Bauhaus pour voir l’abyme qui sépare ces composantes de l’ allemangne de l’entre 2 guerres. Le conservatisme radicalement réactionnaire, genré et raciste des nazis est le contrepoint exact des la modernité et de l’internationalisme ouvert du Bauhaus.
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Cette réaction sociétale se repère jusque dans le graphisme, les nazis reprenant une typographie gothique, prétendant s’inscrire dans un roman national séculaire. Le virilisme revendiqué et caricatural est totalement assumé et revendiqué.
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De même, la place des femmes est clarement assignée, avec les 3 K : Kinder-Kirche-Küche ( les enfants, l’église, la cuisine). On comprend bien alors le désir croissant de voir fermer l’école de Dessau et de détruire ce foyer « d’entartete kunst » ‘( Art dégénéré).
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En URSS, la contre-révolution stalinienne, établissant une dictature nationaliste et militaire derrière une figure patriarcale caricaturale, se traduit aussi par la destruction des expériences avant-gardistes, pourtant acquises à la transformation révolutionnaire.
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Les aspirations et engagements des artistes russes, parmi lesquels, de très nombreuses jeunes femmes fut intense, mais de courte durée..Les constructivistes russes développant des préoccupations très proches de celles du Bauhaus.
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Les expériences et jeux Dadaïstes, se situant sur un autre terrain que le Bauhaus, participe toutefois du même élan de liberté et d’exploration de cet entre-deux guerres en allemagne, pendant lequel, un très grand nombre de femmes artistes se sont épanouies, telle Hannah Höch.
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Sophie Taueber, issue du Dadaïsme, sera elle aussi une créatricereconnue en architecture et décoration intérieure, entre-autres. Les travaux du Bauhaus correspondent aussi à une tendance nette du déclosonnement de pratiques artistique.
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Sonia Stern-Delaunay, elle aussi va créer de façon continue, costumes, tentures et peintures, embrassant tous les domaines, sans hiérarchiser les genres, avec modestie et grande radicalité. Nous noterons tout de même que ces femmes travaillant dans le domaine de la mode, ne seront jamais recinnues à l’agal de leurs suiveurs masculins. Il faut dire qu’elles ne véhiculent pas de stéréotypes éculés de=’un féminité fantasmée par la plupart des créateurs de haute-couture.
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L’artiste Lucy Schwob prend le pseudonyme de Claude Cahun, pour explorer la question du genre, du corps, des aparences, se dégageant délibérément des stéréoypes. Pour elle la photo est un medium discret, intime qui convient à l’univers artistique de la France de l’entre 2 huerres, moins avant gardistes que l’ Europe Centrale. Elle aurait pu être dadaïste et encore surréaliste, mais se gardera des écoles, poursuivant un chemin solitaire, avec sa compagne, Marcelle Moore.
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Les recherches et expérimentation faites au Bauhaus, sont proches, des études du courant néerlandais De Stijl, mené par Piet Mondrian essentiellement. Mais Mondrian est un puriste plus qu’un constructiviste rationnel. Il théorise les 7 éléments premier, Noir et Blanc, Bleu, jaune et Rouge, Verticale et Horizontale et considère de façon plutôt dogmatique que toute expression ^lastique doit être fondée sur ces éléments. Il bannit les obliques et les courbes, comme les couleurs binaires.
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Une artiste pionnière et dont les travaux voisinent avec les productions du Bauhaus, est Eileen Gray. irlandaise vivant et travaillant surtout à Paris. Débutant entre autre par le tissage, elle est vite, la première représentante de ce courant d’architecture et de design à Paris. Complicité parfois tendue avec Le Corbusier, elle a été longtemps oubliée.
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Eileen Gray sera l’une des influences de la grande artiste Charlotte Pierrand, elle aussi collaboratrice très inventive et active du Corbusier. Longtemps, ses créations furent attribuées à celui-ci. Elle est aussi, comme Eileen Gray, une théoricienne de l’habitat social.
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Le principe de ratioanlité et de standardisationest conçu comme un principe économique, permettant d’intégrer et de valoriser des formes et des matériaux simples. De les adapter à n’impotte quel programme architectural.
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du plus simple meuble jusqu’à certaines créations sophistiquées, les principes ne varient guère, mais permettent d’user aussi de matériaux précieux, comme le montraient Reich et Mies Van der Rohe dans le pavillon allemand de Barcelone?
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Après la guerre, Perriand, va travailler à des logements marqués par une certaine utopie de la nature et des loisirs populaires, telle l’ensemble des Arcs, destinés à démocratiser les sports d’hiver, en respectant les rythmes et l’ampleur des paysages alpins.
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La variante luxueuse de cet art nouveau du designe et de l’architecture sera surtout développée par Mallet Stevens, qui reprend brillamment une partie du vocabulaire du Bauhaus, mais pas l’esprit de rationalité ni d’économie. Ses constructions par leur emprise massive au sol, s’écartenet clairement de la légèeté des principes du Bauhaus, de De Stijl comme de Gray, Perriand et Le Corbusier.
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Ce serait plutôt Jean Prouvé qui serait un représentant tardif mais cohérent de cet esprit d’économie et de fonctionalité, tant dans ses propositions architecturales que de son mobilier.
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De même, le couple Eames ( dont longtemps Ray fût ignorée) perpétue cette esthétique de la fonctionalité des matériaux, sachant l’adapter aux nouvelles technologies et matériaux, come le plastique et le contre-plaqué.
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Leur maison s’inscrit manifestement dans la tradition des villas, comme celles de Eileen Gray et Le Corbusier. Renzo Piano est aussi un digne continuateur de cette esthétique fonctionnelle et épurée, adaptée aux lieux et à la fonction.
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Le mobilier de Frank Gerhy serait aussi une exploration des capacités et des spécificités des matériaux, mais son architecture tourne délibérément le dos à la rationalité et au fonctionamlisme, vers un certain lyrisme personnel, séduisant et gratuit.
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Actuellement, les frères Bouroullec, semblent être les plus proches représentants de cette branche du design.
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Bien que le lien ne soit pas encore clairement établi, on peut voir dans les travaux picturaux et sculpturaux d’ Aurélie Nemours, une continuation des recherches et des variations sérielles des ateliers textiles du bauhaus.
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De même, Vera Molnar, influencée directement par Sonia Delaunay, explore et travaille sur des programmations graphiques, qui pourraient être inspurées par le travail du tissage. Elle s’inscrit aussi dans les recherches pionnières de programation par ordinateur, jouant sur l’ordre et le désordre ainsi que les algorithmes. Le mythe de Pénélope et du travail de répétition, comme invisible, crypté, mais qui finit par s’imposer avec le temps, étant marqué par une culture genrée.
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Intervenant dans le domaine des arts plastiques, comme enseignant, praticien ( peintures-graphismes) et conférencier.
Femmes du BAUHAUS
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